chansons

Where bluebirds fly

Face-b du groupe utilisée à une époque pour débuter les concerts.

 

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] en 2002  [/button]

La chanson est une création de Thom, sur son ordinateur portable, certainement incluse dans les CDs de démo adressées par Thom au début 2002 à ses comparses, finalisée au printemps 2003, en répétitions.

XFM, 28 mai 2003 :
[quote ]Colin : “It was some music that Thom did on his laptop, I think. And every time you hear it our hearts quickened, because we had it as our coming on music for a year and a half.”[/quote]

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] en 2002  [/button]

L’intro de cette face B a été utilisée entre 2002 et 2003 pour l’entrée en scène de Radiohead.

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] le mercredi 18 décembre 2002  [/button]

Pour noël, Radiohead offre à ses fans une webcast, durant laquelle est jouée une reprise de « winter wonderland », un chant populaire où l’on trouve le mot « bluebird » (un hasard ?) :

mais aussi “where bluebird fly” (que l’on peut entendre à partie de 2’34) sur cette compilation de webcasts :

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] le mardi 20 mai 2003  [/button]

La chanson fait partie du single « There There ».

La voix de Thom est enfouie sous des tonnes de réverbérations, impossible de comprendre ce qui est dit, la voix est lente, accompagnée de sons assez classiques, qui contraste avec la rythmique rapide de l’instrumentation quasi groove tribal. Tout commence assez rapidement, mais c’est au final la douceur qui gagne la partie pour terminer en beauté la chanson. Ca fait furieusement penser à du Autechre.

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] le mercredi 24 mars 2004  [/button]

On retrouve la chanson sur l’EP ’Com Lag’, prévu pour le marché japonais.

 

[button icon=’iconic-cd’ fullwidth=’true’] le dimanche 27 mars 2005  [/button]

Thom participe à l’Ether Festival durant lequel il interprète la chanson en duo avec Lubna Salame,et en collaboration avec le London Sinfonietta ( et ses six Ondes Martenots joués par Valerie Hartmann-Claverie, Bruno Perrault, Nathalie Forget, Fabienne Martin-Besnard, Nadia Ratsimandresy et Pascale Rousse-Lacordaire) sous la conduite de Martyn Brabbins et avec the Arab Orchestra of Nazareth.

Le webmaster de citizeninsane a réorganisé quelques extraits pour réaliser une vidéo de cette reprise :

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Amatrice du groupe, surtout en concert. Travaille sur ce site depuis 10 ans.

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