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Des arbres, des amis et de l’humanité en général

Le NME, après l’avoir prise pour un homme, s’est tout de même intéressé à Jay Griffiths, auteur d’un livre récompensé (par le prix Orwell) intitulé « Wild : an Elemental Journey », et du beau texte inclus dans the Universal Sigh, « Forests of the Mind » (RH aura fait beaucoup pour la culture des journaleux…au moins anglais). Ils lui ont donc posé quelques questions sur son étonnante contribution :

On y apprend qu’elle connaissait Ed O’Brien et qu’elle savait qu’ils avaient lu son livre. C’est lui qui lui a demandé d’écrire un article : ils lui ont laissé carte blanche, sans aucune contrainte sur ce qu’elle voulait écrire : confiance. Elle trouve formidable que RH ait ainsi contribué à sa cause en distribuant au coeur des grandes villes de telles déclarations sur l’attachement viscéral de l’homme à la forêt.

NME : Comment jugez-vous le fait qu’un groupe comme Radiohead aborde ces questions dans la culture populaire ?

Jay Griffiths : « Je pense que c’est magnifique. Et ils le font avec tellement d’intelligence et de conscience. Tellement de réflexion et au fond, tellement de bonté. Ce n’est pas une vertu très prisée par la modernité, mais c’est une des plus importantes au monde. Ils sont profondément convaincus et c’est ce que leur musique représente. »

 

Source : NME on line 30/03/2011

[http://www.nme.com/blog/index.php?blog=10&title=radiohead_the_universal_sigh_author_jay_&more=1&c=1&tb=1&pb=1&recache->http://www.nme.com/blog/index.php?blog=10&title=radiohead_the_universal_sigh_author_jay_&more=1&c=1&tb=1&pb=1&recache] 

 

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